
Avec ce sixième numéro des « Chroniques de l’arrière-boutique », j’ai ouvert une nouvelle voie d’exploration pour alimenter mon webzine d’escarbilles rougeoyantes et dorées.
En effet, en m’attachant à la notion de liberté, que certains considèrent comme une valeur universelle, j’ai pris conscience que «Les Chroniques de l’arrière-boutique» pouvaient également accueillir des numéros centrés sur des contenus dont le pivot serait plus abstrait ou conceptuel. Ce qui pourrait enrichir et diversifier mes réflexions autour de ma démarche créative. Car l’arrière-boutique est un atelier où s’élabore en continu les idées, les escarbilles de mon imaginaire et, il me semble évident que la spéculation y a toute sa place.
Si vous avez un avis là-dessus, n’hésitez à m’en faire part dans vos commentaires.